Un ballet captivant qui, en retraçant les histoires de Drosselmeier et Clara, invite le public à se laisser aller dans le monde de son imagination, grâce à une mise en scène visionnaire qui, avec ses architectures 3D, plonge dans un jeu entre réalité et fantaisie, entre visible et inconscient.
« Plus que du grand répertoire chorégraphique, nous voulons nous inspirer du conte original d'Hoffmann, imprégné de ces atmosphères visionnaires qui jouent avec l'ambiguïté entre le réel et le fantastique. Nous voulons construire un environnement qui rappelle le labyrinthe car, dans le mythe, le labyrinthe est par excellence le lieu qui se situe entre le réel et l'imaginaire. Notre labyrinthe sera en phase avec l'esthétique technologique contemporaine, fait d'images qui se superposent, où la perception du spectateur est stimulée et absorbée par des images réelles qui vont au-delà du réel et est trompée par l'illusion de la vue, où la succession et la superposition du réel et de l'imaginaire semblent provoquer un court-circuit électronique. »